Blablabla, je crois que je suis parti pour un

Blablabla, je crois que je suis parti pour un grand grand texte avec tout plein de mots qu’on pourraient condensés. Mais je n’y arrive pas. C’est comme ça. Il y a des périodes (comme maintenant) où j’ai envie d’écrire mais il n’y a pas grand choses à raconter d’autre que des banalités, ou rien du tout de rien. (et en plus il me semble que je n’écris pas français là :p). Enfin voilà. Ajouté à ça, j’écris un peu au « felling » sans savoir où je vais (comme maintenant encore une fois) donc je peu dériver n’importe où, n’importe comment et ça peut aller loin !! Par exemple je pourrais dévier là, tout de suite, en vous demandant si vous avez la moindre idée de la source des éclairs dans le ciel, quand il fait nuit noire ? Vous pourriez me répondre que scientifiquement il y a les nuages machins qui se cognent et tout et tout… Et si je vous affirmais qu’il n’en ais rien ? Voici pourquoi :

« Au dessus des hommes, ou au milieu d’eux selon votre bon vouloir, évoluent des créatures plus ou moins inquiétantes. Plus ou moins grandes. Plus ou moins réelles… mais c’est au dessus de nos tête, derrière les nuages qui traversent le monde qu’un jour décidèrent de s’installer monsieur et madame Garialass. Fière géants ayant le goût du voyage et dernier représentants de leur espèce ils quittèrent donc le sol bien ferme de la Terre pour celui plus traître mais tout aussi accueillant des ces bateaux aériens. ( Vous comprendrez alors pourquoi nous ne croisons plus quelques uns de leur cousins éloignés sur nos routes… et qui donc lève encore assez les yeux au ciel aujourd’hui pour  y distinguer quelques fois en contre jour ce couple singulier ?)

Comme chacun le sait, madame Garialass adore cuisiner mais certains des ingrédients qu’elle trouve parmi les nuées blanches lui sont encore inconnues et lorsqu’elle s’essaye à les cuisiner, les résultats, parfois, sont stupéfiants. Des grosses volutes de fumées s’échappent de ses énorme marmittes. Epaisses et opaques elles aveuglent la cuisinière et son mari qui toujours accourt au cris de sa femme et se cognant bruyamment au meubles qu’il rencontre en chemins tandis qu’il tente d’allumer des grandes torches qui pourraient, pense-t-il toujours, l’aider à percer les brumes de ces soupers, mais qui jamais ne reste allumer plus de quelques millièmes de secondes … »

            Quand je vous disais qu’il m’arrive de me perdre loin… et puis le temps est passé et je reviendrais parler plus tard de ce que je voulais parler mais qui n’est en fait pas très important donc tout peut attendre la prochaine pause…

Comme toujours comprenne qui pourra ^^

Smile :D !!